Plus d’un million de personnes dans les rues le 31 mars, un appel des organisations de jeunesse pour le mardi 5, une nouvelle journée nationale interprofessionnelle de grève et de manifestations prévue le 9 mars, sans compter le calendrier voté par la dernière Coordination Nationale Etudiante… tout cela reflète clairement que les vacances de pâques à venir ne sont aucunement anticipées comme un obstacle à l’enracinement et la généralisation de la bataille – comme pour le CPE en 2006 – d’autant que l’agenda parlementaire, prévoyant pour la fin mai toute validation définitive du projet de loi Travail, saura entretenir l’attention... Pour autant, le 31 mars ne représente pas un « tournant » de la mobilisation au sens où il y aurait un « avant » et un « après » bien distincts, il y a encore beaucoup à faire, même si c’est un cap franchi par rapport aux journées antérieures démontrant que la mobilisation actuelle s’amplifie.
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